De bonne habitudes pour une bonne santé.
Tout le monde s’asseyait à la table pour les repas principaux. Non pas que cela n’arrive plus, mais plusieurs habitudes familiales se sont détériorées au cours des 50 dernières années. Est-ce à cause du mode de vie au travail ? Peut-être : le chef de famille était autrefois responsable du travail et de la stabilité économique générale. Aujourd’hui, nous pouvons observer de nombreuses réalités différentes : les couples régulièrement mariés n’ont pas disparu, mais le nombre de couples vivant ensemble a augmenté, et ils n’ont souvent pas d’horaires de travail qui coïncident avec leurs postes. De nombreuses personnes vivent également seules, par choix ou par nécessité, hommes et femmes. Il y a ceux qui sont séparés ou divorcés, seuls ou avec un ou tous les enfants à charge.
La communication, la discipline et le respect.
Ainsi, avec les modes de vie actuels (si on peut les appeler ainsi), non seulement le côté familial est mis à mal, mais la mauvaise habitude de la sédentarité est également encouragée. Nous ne parlons pas de l’éventuelle composante psychologique du conflit entre parents séparés ou divorcés qui pèse sur une bonne partie des enfants. Avec la sédentarité, le stress psychologique est l’instigateur de la consommation de snacks, de sucreries de toutes sortes et d’autres types d’aliments ayant peu ou pas de valeur nutritive. En effet, 60% des enfants ayant cette image de la vie sont en surpoids ou franchement obèses. Prendre des repas en famille peut être une question d’amélioration de la communication et de soutien à la maison.
Ils ont constaté que les parents qui avaient une meilleure communication familiale et moins de découragement à essayer d’améliorer leurs habitudes alimentaires étaient plus susceptibles d’assister aux repas familiaux. Le professeur Keeley Pratt, docteur de l’université d’État de l’Ohio, a déclaré que tout membre de la famille peut influencer l’adoption et le maintien de modèles et de comportements sains à la maison. Il est important de noter que chaque membre de la famille au foyer a une influence. Même si quelqu’un n’a pas le plus grand pouvoir d’influence sur la famille (comme les enfants), ils s’influencent tous les uns les autres. Des recherches antérieures ont montré que l’obésité parentale est généralement le facteur de risque le plus important pour les enfants qui présentent un état d’obésité au fil du temps.
Cela inclut les enfants plus âgés et les adolescents qui sont plus susceptibles de développer des troubles alimentaires et des comportements alimentaires désordonnés. Il n’y a pas de différence significative entre les garçons et les filles dans cette étude, sauf que les familles avec des filles ont plus tendance à dîner ensemble sans télévision cinq à sept fois par semaine. Les familles avec de jeunes enfants, quel que soit leur sexe, étaient plus susceptibles de prendre des dîners et des petits déjeuners en famille, tandis que les parents d’enfants plus âgés étaient plus enclins à parler de leur poids avec l’enfant. Il est important d’étudier le problème sous-jacent qui est à l’origine des problèmes de poids de l’enfant.
